Le monde selon P3SC - Notre philosophie
Qu’est-ce qui anime nos organisations et les gens qui les composent? Comment le monde organisationnel fonctionne-t-il? Qu’est-ce qui fait que les personnes se développent? Qu’est-ce qui amène les organisations plus loin?
Nos réponses à ces questions nous ont amenés à décrire notre perception des rouages qui font fonctionner les personnes et les organisations. Nos réponses nous ont amenés à décrire quelques principes qui guident notre monde. Bienvenue!
Nos réponses à ces questions nous ont amenés à décrire notre perception des rouages qui font fonctionner les personnes et les organisations. Nos réponses nous ont amenés à décrire quelques principes qui guident notre monde. Bienvenue!
Prendre conscience des croyances guidant nos actions.
« La profondeur de nos ancrages personnels influe directement sur notre leadership. »
Chaque personne a le plein potentiel requis à l’accomplissement de sa mission. Pour toutes sortes de raisons et par le biais de toutes sortes de croyances, construites au fil du temps, nous en arrivons bien souvent à limiter l’utilisation de ce plein potentiel. On peut aussi observer le même effet au niveau des organisations. Une culture organisationnelle se bâtit grâce aux histoires et aux croyances des personnes qui y travaillent. Et celle-ci influence fortement l’univers des possibilités.
Qu’on soit au niveau de la personne ou de l’organisation, les croyances peuvent nous propulser vers le développement, mais peuvent aussi l’inhiber. Une prise de conscience fondamentale des limites que nous nous imposons est un premier pas vers l’action. Cette prise de conscience aide à briser les barrières construites avec le temps et nous aide à (re)découvrir les possibilités qui s’offrent à nous. La découverte des possibilités crée un écart entre ce qui est et un avenir qui pourrait être. Cet écart fait naître une saine tension qui nous lance dans l’action.
« La profondeur de nos ancrages personnels influe directement sur notre leadership. »
Chaque personne a le plein potentiel requis à l’accomplissement de sa mission. Pour toutes sortes de raisons et par le biais de toutes sortes de croyances, construites au fil du temps, nous en arrivons bien souvent à limiter l’utilisation de ce plein potentiel. On peut aussi observer le même effet au niveau des organisations. Une culture organisationnelle se bâtit grâce aux histoires et aux croyances des personnes qui y travaillent. Et celle-ci influence fortement l’univers des possibilités.
Qu’on soit au niveau de la personne ou de l’organisation, les croyances peuvent nous propulser vers le développement, mais peuvent aussi l’inhiber. Une prise de conscience fondamentale des limites que nous nous imposons est un premier pas vers l’action. Cette prise de conscience aide à briser les barrières construites avec le temps et nous aide à (re)découvrir les possibilités qui s’offrent à nous. La découverte des possibilités crée un écart entre ce qui est et un avenir qui pourrait être. Cet écart fait naître une saine tension qui nous lance dans l’action.
Penser globalement, de façon stratégique
« Voir la forêt plutôt que chaque arbre. »
Quelles que soient les situations, il importe de toujours voir l’ensemble des éléments en cause et de définir nos actions selon ces éléments. Une pensée animée par une vision stratégique globale s’avère essentielle dans la complexité. La pensée stratégique n’est pas juste l’apanage des exécutifs; elle réfère en fait au repositionnement continuel de nos actions dans un plan de match plus global, qu’il soit personnel ou organisationnel.
« Voir la forêt plutôt que chaque arbre. »
Quelles que soient les situations, il importe de toujours voir l’ensemble des éléments en cause et de définir nos actions selon ces éléments. Une pensée animée par une vision stratégique globale s’avère essentielle dans la complexité. La pensée stratégique n’est pas juste l’apanage des exécutifs; elle réfère en fait au repositionnement continuel de nos actions dans un plan de match plus global, qu’il soit personnel ou organisationnel.
Un processus de transformation continu
« La seule constante est le changement. »
Que ce soit au niveau individuel ou au niveau d’une organisation, l’accomplissement de notre mission n’est jamais terminé. C’est l’histoire d’une vie! La vie est en transformation continuelle. Un changement n’est donc jamais un événement isolé. Il est possible qu’étant donné l’ampleur (la nature) d’un changement, on le ressente comme unique. Qu’à cela ne tienne, il s’inscrit pourtant dans un parcours global. Ce parcours, on ne peut l’ignorer. Les changements actuels viennent des idées et des opportunités du passé. Les changements présents ouvrent et ferment différentes portes dans le futur. Connaître les changements passés, voir ce qui mène aux changements présents et anticiper les impacts sur le futur de nos gens et de notre organisation sont des atouts. C’est ce qu’on appelle assurer la continuité.
« La seule constante est le changement. »
Que ce soit au niveau individuel ou au niveau d’une organisation, l’accomplissement de notre mission n’est jamais terminé. C’est l’histoire d’une vie! La vie est en transformation continuelle. Un changement n’est donc jamais un événement isolé. Il est possible qu’étant donné l’ampleur (la nature) d’un changement, on le ressente comme unique. Qu’à cela ne tienne, il s’inscrit pourtant dans un parcours global. Ce parcours, on ne peut l’ignorer. Les changements actuels viennent des idées et des opportunités du passé. Les changements présents ouvrent et ferment différentes portes dans le futur. Connaître les changements passés, voir ce qui mène aux changements présents et anticiper les impacts sur le futur de nos gens et de notre organisation sont des atouts. C’est ce qu’on appelle assurer la continuité.
Passer du « comment faire » au « comment être »
« Quelle importance : l’avoir ou l’être? »
Généralement, nous avons tous été formés aux exigences du monde des affaires quant aux façons de gérer nos entreprises. Les besoins de résultats financiers récurrents, le besoin de croissance, l’optimisation des processus, le changement continuel, la compétition accrue et globale sont autant de situations pour lesquelles nous sommes formés. Leur prise en charge est nécessaire au succès d’une organisation, voire même à sa survie.
Et pourtant, on se doit d’enrichir la gestion de l’entreprise par la gestion du capital humain, en mettant les gens au centre de nos préoccupations. Aborder cette dimension de nos entreprises prend du doigté, étant donné la complexité, mais aussi la richesse des relations humaines.
« Quelle importance : l’avoir ou l’être? »
Généralement, nous avons tous été formés aux exigences du monde des affaires quant aux façons de gérer nos entreprises. Les besoins de résultats financiers récurrents, le besoin de croissance, l’optimisation des processus, le changement continuel, la compétition accrue et globale sont autant de situations pour lesquelles nous sommes formés. Leur prise en charge est nécessaire au succès d’une organisation, voire même à sa survie.
Et pourtant, on se doit d’enrichir la gestion de l’entreprise par la gestion du capital humain, en mettant les gens au centre de nos préoccupations. Aborder cette dimension de nos entreprises prend du doigté, étant donné la complexité, mais aussi la richesse des relations humaines.
Agir en pleine conscience
« Réussir dans la vie ou réussir sa vie ? »
Pour passer du succès (réussir dans la vie) à l’accomplissement (réussir sa vie), il importe de faire taire l’égo. Ce moment de silence permet de découvrir les ancrages à la base de nos actions pour alors mieux faire émerger le plein potentiel des possibilités futures. Tel un sauteur en hauteur, le niveau de notre « barre » doit être juste assez haut pour nous dépasser et juste assez haut pour réussir.
Au fil du temps, le leader agissant en pleine conscience ne travaillera plus pour s’accomplir lui-même mais pour être au service d’une cause supérieure « mobilisante ». Un leadership ancré dans des finalités plutôt que des moyens aura un effet beaucoup plus mobilisateur sur les gens qui l’entourent.
« Réussir dans la vie ou réussir sa vie ? »
Pour passer du succès (réussir dans la vie) à l’accomplissement (réussir sa vie), il importe de faire taire l’égo. Ce moment de silence permet de découvrir les ancrages à la base de nos actions pour alors mieux faire émerger le plein potentiel des possibilités futures. Tel un sauteur en hauteur, le niveau de notre « barre » doit être juste assez haut pour nous dépasser et juste assez haut pour réussir.
Au fil du temps, le leader agissant en pleine conscience ne travaillera plus pour s’accomplir lui-même mais pour être au service d’une cause supérieure « mobilisante ». Un leadership ancré dans des finalités plutôt que des moyens aura un effet beaucoup plus mobilisateur sur les gens qui l’entourent.